SYNOPSIS: Edward Elric et son frère Alphonse Elric sont de jeunes Alchimistes. En tentant de ramener leur mère à la vie, ils ont payé un lourd tribut, et ils tentent désormais de récupérer ce qu’ils ont perdu. Pour cela, Edward est devenu Alchimiste d’État : le Fullmetal Alchemist. Mais au cours de leurs recherches, bien des épreuves attendent les deux frères et des êtres étranges : les Homonculus, les poursuivent.
Fullmetal Alchemist Brotherhood nous raconte la recherche de deux frères alchimistes pour trouver une pierre philosophale et ainsi récupérer leur corps. Je ne vais pas vous le cacher, c’est avec difficulté et réticence que j’ai attaqué le manga puis le premier animé (Fullmetal Alchemist) puis le second dont je vais plus vous parler ici. Le premier animé est sorti très tôt par rapport au manga, et bien que les histoires furent créées avec Hiromu Arakawa (la mangaka), l’intérêt fut pour moi nul et j’ai très rapidement lâché la série. Les graphismes étaient corrects et le rythme plus ou moins régulier, mais rien n’y faisait.
Donc se lancer dans le second animé n’était pas gagné d’avance. Suivant directement l’histoire développée dans le manga, la fidélité à l’œuvre originale est bien respectée, même si la chronologie et certains éléments n’ont pas été repris. Il m’a fallu un moment avant de me laisser porter par cette aventure originale et assez imaginative dans son concept. Les liens entre les personnages sont bien pensés et l’utilisation de l’alchimie complète les quelques surprises.
Il n’empêche que les moments très touchants sont assez rares, laissant souvent la place à des combats ou aux même intrigues. enchaînant avec habilité les actions ainsi que les environnements et certaines énigmes et intrigues seront assez vite laissées de côté. Dommage car certaines valaient vraiment le détour et auraient apporté de nouvelles façons de repenser l’énigme principale. Il n’empêche que l’on arrive à deviner certaines évolutions et développements.
Les combats quant à eux sont très bien pensés et réalisés. La qualité graphique ainsi que le dessin sont superbes dans leur précision et leurs couleurs. Le caractère plus récent de la série permet une image haute définition qui garde et exploite toute la grandeur de certaines actions surdimensionnées. C’est beau et bien fait et ça m’a permis de continuer une série malgré ses vides et ses interrogations plus ou moins évidentes. Pour conclure, Fullmetal Alchemist Brotherhood a su m’intéresser par ses combats et certaines de ses énigmes originales, malgré une certaine facilité de scénario et quelques passages à vide.
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