L’ÉQUIPE

FRED TEPER

fred

Cinéphile et sériephile depuis toujours. A créé Les Chroniques de Cliffhanger & Co pour partager ses passions. Biberonné à Amicalement Vôtre, Bébel, James Bond et De Funès. A grandi en se passionnant pour Bertrand Blier, Hitchcock, Dallas ou Spielberg. A atteint la maturité en idolâtrant David Fincher, Michael Mann, Hill Street Blues ou Claude Sautet ! Liste non exhaustive et disponible sur demande!

STÉPHANIE GAILLARD

STEPHANIE GAILLARD

Cinéphile depuis Indiana Jones, devenue cinéphage avec le temps, je consomme encore à trop forte dose du blockbuster par bloc de douze, m’initie sagement aux films plus discrets, m’exhorte à ne plus bouder les films d’avant ma naissance, et suis mes maîtres, toujours : Spielberg, Fincher, Shyamalan, Jackson… Sériephile aussi – mais pas marathonienne pour autant – je reste fidèle à mon genre de prédilection, celui qui parle si bien à mon p’tit cœur romanesque : le médieval-fantastique. Read me if you can.

twitterSENS CRITIQUE

PATRICE STEIBEL

patrice-steibel

Fan vétéran  de Cinéma  depuis 35 ans (et oui j’ai vu Star Wars au cinéma quand il n’était pas encore l’épisode 4), j’ai  survécu à  8 Planète des Singes, 3 Matrix, 25 James Bond (et oui je compte Jamais plus jamais), 5 Spider-Man , 7 Batman , 3  Iron  Man,  4 Arme Fatale, 3  Die Hard (oui je ne compte pas le 4 & le  5!) , 6 Star Wars  et autant de blockbusters à 200 millions de dollars que de sériez Z italiennes à 200 000 lires.
twitter
CINEMADROIDE
GUILLAUME GAS
guillaume gas
Cinéphile acharné, critique aventurier, toujours prêt à dégainer ma plume pour causer cinéma et donner envie à chacun de se rendre dans cette délicieuse Matrice que l’on appelle une « salle obscure »…
twitter

 

ERWAN DARBELLAY

J’ai levé la tête de mon bouquin pour jeter un coup d’œil sur le cinéma des années 80, j’ai refermé mon bouquin pour découvrir l’absurde au cinéma avec les Monty Python ou Mel Brooks, j’ai posé mon bouquin lorsque Woody Allen ou Claude Lelouch m’ont fait comprendre que le cinéma ce n’était pas que du divertissement et que ça pouvait changer sa façon de penser…  j’ai brûlé mon bouquin… euh… non ça c’est pas une bonne comparaison… bref, j’aime tous les cinémas, de Bollywood à Hollywood, de Takashi Miike à Steven Spielberg, Roy Andersson, Sono Sion, Terry Gilliam ou Philippe de Broca. Cinéphile mais aussi sériephile, je vis dans un monde qui défile en 24 images par secondes…

CAMILLE HUMBERT

Tombée dans une bobine quand j’étais petite, j’aime depuis faire des bonds d’une pellicule à l’autre. Après avoir longtemps rêvé de devenir princesse Leia/Ellen Ripley/Sarah Connor/Indiana Jones/Bébé de Dirty Dancing (cherchez l’erreur), je rassasie aujourd’hui mon cerveau d’éternelle adulescente grâce, entre autres, à David Fincher, Harmony Korine ou Steven Spielberg. J’adore m’ennuyer devant le cinéma de Jim Jamursch et The Wire, ne rien comprendre à l’œuvre de David Lynch, pleurer devant The Leftovers et les films d’Hayao Miyazaki. Enfin, n’en déplaise aux haters, je voue un culte à Ryan Gosling. Mieux vaut donc être prévenu…

WILLIAM FRANÇOIS

Étudiant en audiovisuel, donc cinéphile assumé. Éternel indécis, j’aime pratiquement tous les genres, du blockbuster d’action hollywoodien au film de genre européen, en passant par la comédie musicale. J’ai chanté sur La La Land, j’ai pleuré sur Forrest Gump, j’ai flippé sur Sixième Sens, et j’ai été émerveillé par les vies de Mr Nobody.

BRICE CONNAN
Cinéma, séries, comics, théâtre, écriture…les années sont trop courtes pour réussir à sustenter l’appétit d’ogre de ma curiosité, que ce soit en tant que créateur ou que spectateur. Fort heureusement, contrairement au temps qui passe, l’ouverture d’esprit n’a pour seule limite que celle que je lui impose…dans mon cas elle est donc infinie. Partant du principe que si une chose existe, elle mérite nécessairement que l’on s’y attarde un minimum avant de subjectivement sonner ou non son glas, j’ai une forte appétence pour les nanars, je suis viscéralement persuadé que le concept des Super sentai est de l’or en barre pour celui qui saura (qualitativement) l’exploiter à son juste potentiel, j’admire Joss Whedon, Damon Lindelof, Alexandre Astier, Matthew Vaughn et Spider-Man, et j’espère secrètement voir un jour Kevin Sorbo rejouer Hercule.
JEAN-PHILIPPE CERTA

J’ai fait la connaissance du cinéma avec De Funès, j’en suis tombé amoureux avec Belmondo et j’ai pris perpète avec Spielberg. Sur une télé ou plus idéalement dans les salles obscures, les images n’ont jamais cessé de défiler, m’offrant les plus beaux voyages. Je navigue selon les humeurs, toujours changeantes, et les curiosités, toujours croissantes. Billy Wilder et Claude Sautet me mettent des baffes monumentales d’admiration ; Chaplin, Hitchcock ou Scorsese me rappellent régulièrement qu’ils sont les patrons ; Verneuil, De Broca ou Yves Robert me glissent à l’oreille que le cinéma français savait être hautement divertissant ; Nakache et Toledano me confirment qu’il sait l’être encore. Sur plus d’un siècle de cinéma, il y a tant à voir, à revoir, à découvrir. L’aventure continue.

PIERRE CHAMB

Élevé dans l’univers des VHS et dans les rayons des vidéos club le vendredi soir, je suis comme beaucoup ici, un passionné par du 7ème art. Adepte de tous les genres, du cinéma d’auteur, en passant par les blockbusters, des films français aux films asiatiques avec un détour par le continent américain. En quête de sensation forte, j’adore débattre et échanger pendant des heures autour de notre passion commune.

JM AUBERT

Première image de cinéma : les files d’attente jusqu’à la rue pour LA sortie du nouveau Disney à une époque où le grand écran était le seul support de visionnage. S’en suivront des odyssées cinéphiles électriques et éclectiques allant du populaire « mais qu’est-ce que c’est que cette matière ?? » de Jacques François dans Le père Noel est une ordure… Au plus intimiste de l’interminable scène de l’œuf qui cuit pendant 3 minutes dans Rosetta des Frères Dardenne. Sinon, je soupire amoureusement à chaque apparition de Scarlett Johansson dans Lost In Transaltion, film de chevet. Je jette mon destin à tes pieds Scarlett… En attendant, j’écris de temps en temps…

NICOLAS BELLET

Comme Niagara, j’ai vu La guerre des Etoiles, au ciné. J’ai vu l’arrivée de Canal + et les cinéphiles armés de leurs fusils. J’ai vu la mort du Bétamax. La victoire des VHS et des DVD / Blu Ray. La 5 et la révolution roumaine, comme si j’y étais. J’ai vu l’internet, la mort de la presse papier et des salles annoncés. J’ai vu les plateformes se marrer et ramasser ce qui restait. Et j’ai prié. J’ai prié dans les salles obscures pour retrouver un peu d’Il était une fois en Amérique, faire une autre Rencontre du troisième type au détour ou d’une route de briques jaunes (même si, là on l’on va, on a pas besoin de route !) ou juste croisé encore un enfant du Paradis. Bref le cinéma Paradiso que je croyais à jamais perdu. Et j’ai vu Tarantino, Lynch, Burton, Dolan, Nolan, Bigelow ou Campion et j’ai chanté Dadidou

EDOUARD MACRE

C’est quand j’ai compris que le souvenir d’un film durait toute la vie que j’ai voulu me créer plein de beaux souvenirs.

Les film de mes…

… 10 ans : Indiana Jones, Retour vers le futur, Star Wars

… 20 ans : Festen, Bloody Sunday, The Big Lebowski

… 30 ans : La guerre est déclarée, Mad Max: Fury Road, Entre les murs

… 40 ans : Annette, Searching, Get Out

_____________________________________________________________________________________________________________________________________________________

Il ont quittés le navire mais on ne les oublie pas

ROBIN FENDER

PIWI

Cinéphile invétéré qui bouffe de la pellicule depuis toujours, passionné qui transmet ses coups de cœur et ses coups de gueule en toute objectivité, matinée de la mauvaise foi qui caractérise le cinéphage!

twittervodkaster

FRED WILDGUNSLINGER

wildgunslinger

Cinéphile, voire cinéphage, qui s’assume. J’aime les blockbusters, n’en déplaise à certains. Je voue un petit culte à Michael Mann, mais je sais aussi apprécier des films indépendants. Plutôt porté sur le cinéma américain, qui a bercé mon enfance et mon adolescence, je peux aussi parfois m’ouvrir aux œuvres européennes ou asiatiques.

twittervodkaster

MARINE SIALELLI

MARINE SIALELLI

Sériephile émérite, grande passionnée des histoires racontées avec brio, qui ne renie ni les soap operas, ni les telenovelas, pourvu qu’il y ait une belle réplique. Ça avait commencé avec les romans à feuilletons à une époque où Lady Di vivait encore, et ça se poursuit aujourd’hui avec les joies du petit écran.

twitter

ELÉONORE LALY

OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Un choc cinématographique le 6 février 2002  a été la rampe de lancement d’une passion toujours aussi ardente à ce jour. Chroniqueuse aux goûts éclectiques & électriques. Une Furiosa qui possède Six degrés de séparation avec Cyrano et descend du Tardis afin de contempler une fleur de carotte au lever du soleil en fredonnant à quoi sert de vivre libre, voici un bon résumé du shaker cinématographique dont je suis faite.  La vie a plus d’imagination que nous et le cinéma c’est mieux que la vie comme dirait un cinéaste que j’affectionne.

twitter

JOËL CREST

joel

Biberonné aux prods Spielberg et John Hughes. Converti au WoodyAllenisme depuis « Play It Again Sam ». A usé bien des strapontins dans les années 80. A usé bien des VHS dans les années 90. A usé bien des zapettes dans les années 2000. Attaque l’usage intensif de Blu-Ray depuis peu.

MOVIE MEMORY Ztwittervodkaster

WILLIAM SMITH

easy gravatar

Lourdement atteint de cette maladie incurable qu’on appelle l’amour du cinéma. Se fait régulièrement prescrire quelques boîtes de pellicules estampillées Spielberg, Nolan, Shyamalan et autres Tarantineries en guise de traitement. Ma mission de critique ? Briser les frontières entre mainstream et underground, armé d’un fusil express à décorticage filmique.

LAURENT DOUCET

LAURENT DOUCET

La découverte successive de Pulp Fiction et d’Un cœur en hiver ont construit une grande part de ma cinéphilie. Variant les plaisirs entre films d’auteur et productions démesurées, mon plaisir de la fiction s’est étendu à la télévision dernièrement. Souvent objectif mais pas toujours, j’ai mes chouchous comme J.J Abrams, Christopher Nolan ou Albert Dupontel

twitter

REMI LUDER

remi-luder

Je vis pour l’éclectisme, de Citizen Kane à Hercule à New York. Né quelques jours avant Tchernobyl, je suis une sorte de monstruosité mutante dopée au cinéma coréen, Spielberg, Lucas, Dupontel et aux frères Coen qui ne rechigne ni devant un blockbuster ni devant un film muet iranien dont le héros est un dératiseur sexagénaire enroulé dans de l’aluminium.

twitter

ROMARIC BERLAND

Jamais vraiment revenu de la jungle du Colonel Kurtz et de la Zone de Tarkovski, j’aime le cinéma dans sa diversité et sa radicalité. Du cinéma américain des années 70 aux films coréens des années 2000, du documentaire à la fiction, des films indépendants aux blockbusters, je goûte tout avec plaisir et j’écris pour partager mon enthousiasme.

VANESSA BONET

Cinéphile depuis le tout début des années 2000 après le choc Mulholland Drive, je hante les salles obscures à la recherche d’émotions fortes. Mes favoris ? David Lynch évidemment, mais aussi Michael Haneke, Maurice Pialat, François Truffaut ou encore Fritz Lang et Henri Georges Clouzot.

MATHIEU LEMOINE

Cinéphile à mes heures perdues (cela dit peut on vraiment considérer comme perdues des heures passées dans des salles obscures ?). Totalement objectif face à la subjectivité (ou inversement), j’aime mettre un coup de projecteur sur mes coups de cœur tout comme sortir la pelle et le six-coups en cas de profonde déception !

LUCIE DE AZEVEDO FELIX

© Laurent Zabulon

Ex-khâgneuse, passionnée de cinéma français contemporain et en amour pour ceux qui font le 7è art. Davantage centrée sur le ressenti laissé par un film que sur son analyse technique. Qui m’aime me lise !

ANTONIN BONNEAU
Préfère se définir comme un passionné de cinéma plutôt qu’un cinéphile, et croit fermement qu’on peut tout autant aimer Fight Club qu’un film polonais de Zulawski. Refuse autant que possible les clans cinéphiles et la mauvaise foi. D’ailleurs, mes maîtres à penser son autant Jean-Baptiste Thoret que Rafik Djoumi ou Philippe Rouyer. Regarde aussi un peu de séries à ses heures perdues.

JOFREY LA ROSA

Biberonné au ciné, Lostien acharné, adorateur de Fincher, Mann et Scorsese, je respire pour tout ça et bien plus. Surtout le ciné américain, mais jamais fermé pour aller explorer ailleurs. Toujours curieux, souvent dithyrambique sur les trucs dont tout le monde se fout, jamais fini de défendre Lindelof. Je vous ai dit que Lost c’est la meilleure chose?

PAULINE LECOCQ

Passionnée de cinéma et de séries, mes genres favoris vont de la comédie musicale au film policier en passant par le film historique et la comédie romantique. Peu intéressée par les films de super-héros, j’ai une préférence pour les productions indépendantes, LGBTQ+ et/ou britanniques, que ce soit sur le grand ou le petit écran, le web ou les plateformes

ERIC FLOUX
Cinéphile, sériephile, anglophile et Bondophile, biberonné à Chapeau Melon et bottes de cuir , Ghostbusters et à Louis de Funès. Passionné par le thème de la conspiration dans le cinéma US. A consulté un psy après avoir vu Les Dents de la mer à l’âge de 7 ans.

CITYHUNTERNICKY

Spectateur boulimique, qui se fie aux affiches et aux on-dit pour choisir ses films. Du coup mate beaucoup de films d’une qualité inexistante. BA HATER.

JEAN-BAPTISTE CORIOU

Cinéphile exigent, j’ai grandi dans les années 90. S’est pris de passion pour le Nouvel Hollywood depuis une quinzaine d’années et veut subir un choc à chaque séance. Attend toujours le nouveau Kubrick et le nouveau Scorsese du ciné US. Se demande si les séries ne sont pas devenues le nouvel eldorado

FABRICE SAYAG
fabrice sayag

J’ai grandi avec le cinéma de quartier de Jean-Pierre Dionnet, me suis imaginé combattre avec les Argonautes, chevaucher un chien volant (L’histoire sans fin), triompher d’Apollo Creed, être le side kick de Snake Plissken, échapper à Michael Myers, vivre des journées aussi folles que Ferris (Ferris Bueller) ou Joel (Risky Business). Enfant puis adolescent rêveur et cinévore, c’est la découverte des films de Kubrick et de De Palma qui m’a inoculé le virus de la cinéphilie à l’âge de 15 ans. Je cultive depuis ce goût de la découverte, cette curiosité permanente qui me pousse à m’intéresser à tous les cinémas, même si quelques réalisateurs ont déjà leur place dans mon panthéon personnel (Kubrick, De Palma, John Carpenter, Sono Sion, Paul Thomas Anderson, Harmony Korine, Michael Powell et Emeric Pressburger … )

twitter

QUENTIN DELAHAYE

cinemoustache2

Né en même temps que John Mc Clane, Cinemoustache aime tellement les films, qu’il a un temps travaillé dedans. Depuis, il aime surtout les regarder, en parler, et réfléchir au monde d’aujourd’hui à travers le 7e Art.

twittertwittervodkaster

MARIE DASQUE

Après un apprentissage de la cinéphilie avec le cinéma japonais subversif contemporain, j’ai troqué la monomaniaquerie autour de Sion Sono, Takashi Miike et autres Tetsuya Mariko contre une ouverture de mes horizons filmographiques. Aujourd’hui je suis curieuse de tout… mais si le tout en question peut être teinté de genre, c’est encore mieux !

FLORIAN BZX

Cinéphile mordu depuis bien longtemps toujours à la recherche du nouveau devant le grand écran, je reprends ma plume pour défendre ces films ou séries qui méritent d’être plus mis en avant, ou au contraire, les achever. Je troquerai volontiers cette plume contre un sabre-laser, un bouclier en vibranium ou une baguette de sureau.

OCÉANE ZERBINI

J’ai grandi avec des héroïnes qui étaient des princesses, des sorcières et des guerrières. Maintenant, j’écume les salles de cinéma en quête  d’histoires inspirantes qui explosent les stéréotypes et les clichés. Peu importe qu’il s’agisse d’un blockbuster ou d’un film indépendant, tant que la qualité est là, l’enthousiasme sera au rendez-vous. Fincher, Spielberg, Coppola père et fille, Tarantino, Scorsese et Burton ont forgé ma cinéphilie, et j’attends désormais de voir quels sont les talents d’aujourd’hui et de demain qui vont la parfaire. Et quand une bande originale est composée par Trent Reznor et Atticus Ross, c’est encore mieux!

2 réponses »

  1. Bonjour,

    Nous sortons le film PIG, du réalisateur Mani Haghighi, une comédie noire iranienne déjantée.

    Nous serions ravis de travailler avec vous autour de cette sortie du film (le 05/12).

    N’hésitez-pas à me contacter pour tous liens de visionnage.

    Cordialement

    Sophie

Laisser un commentaire