FRED TEPER
Cinéphile et sériephile depuis toujours. A créé Les Chroniques de Cliffhanger & Co pour partager ses passions. Biberonné à Amicalement Vôtre, Bébel, James Bond et De Funès. A grandi en se passionnant pour Bertrand Blier, Hitchcock, Dallas ou Spielberg. A atteint la maturité en idolâtrant David Fincher, Michael Mann, Hill Street Blues ou Claude Sautet ! Liste non exhaustive et disponible sur demande!
STÉPHANIE GAILLARD
Cinéphile depuis Indiana Jones, devenue cinéphage avec le temps, je consomme encore à trop forte dose du blockbuster par bloc de douze, m’initie sagement aux films plus discrets, m’exhorte à ne plus bouder les films d’avant ma naissance, et suis mes maîtres, toujours : Spielberg, Fincher, Shyamalan, Jackson… Sériephile aussi – mais pas marathonienne pour autant – je reste fidèle à mon genre de prédilection, celui qui parle si bien à mon p’tit cœur romanesque : le médieval-fantastique. Read me if you can.
PATRICE STEIBEL
ERWAN DARBELLAY
J’ai levé la tête de mon bouquin pour jeter un coup d’œil sur le cinéma des années 80, j’ai refermé mon bouquin pour découvrir l’absurde au cinéma avec les Monty Python ou Mel Brooks, j’ai posé mon bouquin lorsque Woody Allen ou Claude Lelouch m’ont fait comprendre que le cinéma ce n’était pas que du divertissement et que ça pouvait changer sa façon de penser… j’ai brûlé mon bouquin… euh… non ça c’est pas une bonne comparaison… bref, j’aime tous les cinémas, de Bollywood à Hollywood, de Takashi Miike à Steven Spielberg, Roy Andersson, Sono Sion, Terry Gilliam ou Philippe de Broca. Cinéphile mais aussi sériephile, je vis dans un monde qui défile en 24 images par secondes…
CAMILLE HUMBERT
Tombée dans une bobine quand j’étais petite, j’aime depuis faire des bonds d’une pellicule à l’autre. Après avoir longtemps rêvé de devenir princesse Leia/Ellen Ripley/Sarah Connor/Indiana Jones/Bébé de Dirty Dancing (cherchez l’erreur), je rassasie aujourd’hui mon cerveau d’éternelle adulescente grâce, entre autres, à David Fincher, Harmony Korine ou Steven Spielberg. J’adore m’ennuyer devant le cinéma de Jim Jamursch et The Wire, ne rien comprendre à l’œuvre de David Lynch, pleurer devant The Leftovers et les films d’Hayao Miyazaki. Enfin, n’en déplaise aux haters, je voue un culte à Ryan Gosling. Mieux vaut donc être prévenu…
WILLIAM FRANÇOIS
Étudiant en audiovisuel, donc cinéphile assumé. Éternel indécis, j’aime pratiquement tous les genres, du blockbuster d’action hollywoodien au film de genre européen, en passant par la comédie musicale. J’ai chanté sur La La Land, j’ai pleuré sur Forrest Gump, j’ai flippé sur Sixième Sens, et j’ai été émerveillé par les vies de Mr Nobody.
J’ai fait la connaissance du cinéma avec De Funès, j’en suis tombé amoureux avec Belmondo et j’ai pris perpète avec Spielberg. Sur une télé ou plus idéalement dans les salles obscures, les images n’ont jamais cessé de défiler, m’offrant les plus beaux voyages. Je navigue selon les humeurs, toujours changeantes, et les curiosités, toujours croissantes. Billy Wilder et Claude Sautet me mettent des baffes monumentales d’admiration ; Chaplin, Hitchcock ou Scorsese me rappellent régulièrement qu’ils sont les patrons ; Verneuil, De Broca ou Yves Robert me glissent à l’oreille que le cinéma français savait être hautement divertissant ; Nakache et Toledano me confirment qu’il sait l’être encore. Sur plus d’un siècle de cinéma, il y a tant à voir, à revoir, à découvrir. L’aventure continue.
PIERRE CHAMB
Élevé dans l’univers des VHS et dans les rayons des vidéos club le vendredi soir, je suis comme beaucoup ici, un passionné par du 7ème art. Adepte de tous les genres, du cinéma d’auteur, en passant par les blockbusters, des films français aux films asiatiques avec un détour par le continent américain. En quête de sensation forte, j’adore débattre et échanger pendant des heures autour de notre passion commune.
JM AUBERT
Première image de cinéma : les files d’attente jusqu’à la rue pour LA sortie du nouveau Disney à une époque où le grand écran était le seul support de visionnage. S’en suivront des odyssées cinéphiles électriques et éclectiques allant du populaire « mais qu’est-ce que c’est que cette matière ?? » de Jacques François dans Le père Noel est une ordure… Au plus intimiste de l’interminable scène de l’œuf qui cuit pendant 3 minutes dans Rosetta des Frères Dardenne. Sinon, je soupire amoureusement à chaque apparition de Scarlett Johansson dans Lost In Transaltion, film de chevet. Je jette mon destin à tes pieds Scarlett… En attendant, j’écris de temps en temps…
NICOLAS BELLET
Comme Niagara, j’ai vu La guerre des Etoiles, au ciné. J’ai vu l’arrivée de Canal + et les cinéphiles armés de leurs fusils. J’ai vu la mort du Bétamax. La victoire des VHS et des DVD / Blu Ray. La 5 et la révolution roumaine, comme si j’y étais. J’ai vu l’internet, la mort de la presse papier et des salles annoncés. J’ai vu les plateformes se marrer et ramasser ce qui restait. Et j’ai prié. J’ai prié dans les salles obscures pour retrouver un peu d’Il était une fois en Amérique, faire une autre Rencontre du troisième type au détour ou d’une route de briques jaunes (même si, là on l’on va, on a pas besoin de route !) ou juste croisé encore un enfant du Paradis. Bref le cinéma Paradiso que je croyais à jamais perdu. Et j’ai vu Tarantino, Lynch, Burton, Dolan, Nolan, Bigelow ou Campion et j’ai chanté Dadidou…
EDOUARD MACRE
C’est quand j’ai compris que le souvenir d’un film durait toute la vie que j’ai voulu me créer plein de beaux souvenirs.
Les film de mes…
… 10 ans : Indiana Jones, Retour vers le futur, Star Wars
… 20 ans : Festen, Bloody Sunday, The Big Lebowski
… 30 ans : La guerre est déclarée, Mad Max: Fury Road, Entre les murs
… 40 ans : Annette, Searching, Get Out
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Il ont quittés le navire mais on ne les oublie pas
ROBIN FENDER
Cinéphile invétéré qui bouffe de la pellicule depuis toujours, passionné qui transmet ses coups de cœur et ses coups de gueule en toute objectivité, matinée de la mauvaise foi qui caractérise le cinéphage!
FRED WILDGUNSLINGER
Cinéphile, voire cinéphage, qui s’assume. J’aime les blockbusters, n’en déplaise à certains. Je voue un petit culte à Michael Mann, mais je sais aussi apprécier des films indépendants. Plutôt porté sur le cinéma américain, qui a bercé mon enfance et mon adolescence, je peux aussi parfois m’ouvrir aux œuvres européennes ou asiatiques.
MARINE SIALELLI
Sériephile émérite, grande passionnée des histoires racontées avec brio, qui ne renie ni les soap operas, ni les telenovelas, pourvu qu’il y ait une belle réplique. Ça avait commencé avec les romans à feuilletons à une époque où Lady Di vivait encore, et ça se poursuit aujourd’hui avec les joies du petit écran.
ELÉONORE LALY
Un choc cinématographique le 6 février 2002 a été la rampe de lancement d’une passion toujours aussi ardente à ce jour. Chroniqueuse aux goûts éclectiques & électriques. Une Furiosa qui possède Six degrés de séparation avec Cyrano et descend du Tardis afin de contempler une fleur de carotte au lever du soleil en fredonnant à quoi sert de vivre libre, voici un bon résumé du shaker cinématographique dont je suis faite. La vie a plus d’imagination que nous et le cinéma c’est mieux que la vie comme dirait un cinéaste que j’affectionne.
JOËL CREST
Biberonné aux prods Spielberg et John Hughes. Converti au WoodyAllenisme depuis « Play It Again Sam ». A usé bien des strapontins dans les années 80. A usé bien des VHS dans les années 90. A usé bien des zapettes dans les années 2000. Attaque l’usage intensif de Blu-Ray depuis peu.
WILLIAM SMITH
Lourdement atteint de cette maladie incurable qu’on appelle l’amour du cinéma. Se fait régulièrement prescrire quelques boîtes de pellicules estampillées Spielberg, Nolan, Shyamalan et autres Tarantineries en guise de traitement. Ma mission de critique ? Briser les frontières entre mainstream et underground, armé d’un fusil express à décorticage filmique.
LAURENT DOUCET
La découverte successive de Pulp Fiction et d’Un cœur en hiver ont construit une grande part de ma cinéphilie. Variant les plaisirs entre films d’auteur et productions démesurées, mon plaisir de la fiction s’est étendu à la télévision dernièrement. Souvent objectif mais pas toujours, j’ai mes chouchous comme J.J Abrams, Christopher Nolan ou Albert Dupontel…
REMI LUDER
Je vis pour l’éclectisme, de Citizen Kane à Hercule à New York. Né quelques jours avant Tchernobyl, je suis une sorte de monstruosité mutante dopée au cinéma coréen, Spielberg, Lucas, Dupontel et aux frères Coen qui ne rechigne ni devant un blockbuster ni devant un film muet iranien dont le héros est un dératiseur sexagénaire enroulé dans de l’aluminium.
ROMARIC BERLAND
Jamais vraiment revenu de la jungle du Colonel Kurtz et de la Zone de Tarkovski, j’aime le cinéma dans sa diversité et sa radicalité. Du cinéma américain des années 70 aux films coréens des années 2000, du documentaire à la fiction, des films indépendants aux blockbusters, je goûte tout avec plaisir et j’écris pour partager mon enthousiasme.
VANESSA BONET
Cinéphile depuis le tout début des années 2000 après le choc Mulholland Drive, je hante les salles obscures à la recherche d’émotions fortes. Mes favoris ? David Lynch évidemment, mais aussi Michael Haneke, Maurice Pialat, François Truffaut ou encore Fritz Lang et Henri Georges Clouzot.
MATHIEU LEMOINE
Cinéphile à mes heures perdues (cela dit peut on vraiment considérer comme perdues des heures passées dans des salles obscures ?). Totalement objectif face à la subjectivité (ou inversement), j’aime mettre un coup de projecteur sur mes coups de cœur tout comme sortir la pelle et le six-coups en cas de profonde déception !
LUCIE DE AZEVEDO FELIX
© Laurent Zabulon
Ex-khâgneuse, passionnée de cinéma français contemporain et en amour pour ceux qui font le 7è art. Davantage centrée sur le ressenti laissé par un film que sur son analyse technique. Qui m’aime me lise !
Biberonné au ciné, Lostien acharné, adorateur de Fincher, Mann et Scorsese, je respire pour tout ça et bien plus. Surtout le ciné américain, mais jamais fermé pour aller explorer ailleurs. Toujours curieux, souvent dithyrambique sur les trucs dont tout le monde se fout, jamais fini de défendre Lindelof. Je vous ai dit que Lost c’est la meilleure chose?
PAULINE LECOCQ
Passionnée de cinéma et de séries, mes genres favoris vont de la comédie musicale au film policier en passant par le film historique et la comédie romantique. Peu intéressée par les films de super-héros, j’ai une préférence pour les productions indépendantes, LGBTQ+ et/ou britanniques, que ce soit sur le grand ou le petit écran, le web ou les plateformes
CITYHUNTERNICKY
Spectateur boulimique, qui se fie aux affiches et aux on-dit pour choisir ses films. Du coup mate beaucoup de films d’une qualité inexistante. BA HATER.
JEAN-BAPTISTE CORIOU
Cinéphile exigent, j’ai grandi dans les années 90. S’est pris de passion pour le Nouvel Hollywood depuis une quinzaine d’années et veut subir un choc à chaque séance. Attend toujours le nouveau Kubrick et le nouveau Scorsese du ciné US. Se demande si les séries ne sont pas devenues le nouvel eldorado
J’ai grandi avec le cinéma de quartier de Jean-Pierre Dionnet, me suis imaginé combattre avec les Argonautes, chevaucher un chien volant (L’histoire sans fin), triompher d’Apollo Creed, être le side kick de Snake Plissken, échapper à Michael Myers, vivre des journées aussi folles que Ferris (Ferris Bueller) ou Joel (Risky Business). Enfant puis adolescent rêveur et cinévore, c’est la découverte des films de Kubrick et de De Palma qui m’a inoculé le virus de la cinéphilie à l’âge de 15 ans. Je cultive depuis ce goût de la découverte, cette curiosité permanente qui me pousse à m’intéresser à tous les cinémas, même si quelques réalisateurs ont déjà leur place dans mon panthéon personnel (Kubrick, De Palma, John Carpenter, Sono Sion, Paul Thomas Anderson, Harmony Korine, Michael Powell et Emeric Pressburger … )
QUENTIN DELAHAYE
Né en même temps que John Mc Clane, Cinemoustache aime tellement les films, qu’il a un temps travaillé dedans. Depuis, il aime surtout les regarder, en parler, et réfléchir au monde d’aujourd’hui à travers le 7e Art.
MARIE DASQUE
Après un apprentissage de la cinéphilie avec le cinéma japonais subversif contemporain, j’ai troqué la monomaniaquerie autour de Sion Sono, Takashi Miike et autres Tetsuya Mariko contre une ouverture de mes horizons filmographiques. Aujourd’hui je suis curieuse de tout… mais si le tout en question peut être teinté de genre, c’est encore mieux !
FLORIAN BZX
Cinéphile mordu depuis bien longtemps toujours à la recherche du nouveau devant le grand écran, je reprends ma plume pour défendre ces films ou séries qui méritent d’être plus mis en avant, ou au contraire, les achever. Je troquerai volontiers cette plume contre un sabre-laser, un bouclier en vibranium ou une baguette de sureau.
OCÉANE ZERBINI
Bonjour,
Nous sortons le film PIG, du réalisateur Mani Haghighi, une comédie noire iranienne déjantée.
Nous serions ravis de travailler avec vous autour de cette sortie du film (le 05/12).
N’hésitez-pas à me contacter pour tous liens de visionnage.
Cordialement
Sophie