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Résumé : « Vous ne connaîtrez jamais mon nom. Mais vous n’oublierez jamais mon numéro. Derrière les événements dont on vous informe, il y a les tueurs clandestins qui remettent de l’ordre. Officiellement, nous n’existons pas, et pourtant les gouvernements de tous les pays ont recours à nos services. Ma prochaine cible est Sixteen et, un jour prochain, j’aurai Eighteen sur le dos. » Ainsi parle l’agent Seventeen, le meilleur de tous, chargé d’éliminer son prédécesseur qui se terre dans un coin reculé d’Amérique. Leur lutte sera sans…
EDIT : LA NOTE EST BIEN DE 4.5/5
Crédits : Éditions Gallimard
Quel est le point entre Antoine de Caunes et L’agent Seventeen le premier roman de John Brownlow ? Je vous dis tout dans cette vidéo !
Salut à tous dans cette nouvelle vidéo, je vous parle de L’agent Seventeen le premier roman de John Brownlow publiée dans la Série Noire aux Éditions Gallimard. L’agent Seventeen c’est l’histoire de Seventeen le nom de code d’un tueur à gages de haut vol, parmi les meilleurs de sa discipline qui aligne les contrats sans réel état d’âme jusqu’au jour où une opération se déroulant à Berlin tourne au fiasco et qu’il se voit confier la mission à haut risque de tuer son prédécesseur, parti de lui-même à la retraite, l’agent Sixteen. Alors là les amis, tenez-vous bien car voici un thriller littéralement phénoménal. Je n’en avais pas entendu parler à la sortie et heureux hasard, je suis tombé cet été sur un post instagram d’Antoine de Caunes qui vantait les mérites de l’auteur et son style punchy en disant je cite que c’était « jouissif à en devenir addicif ». Ni une, ni deux je m’empressais d’acquérir le livre car oui je fais confiance aux goûts littéraires d’Antoine de Caunes (petit aparté si vous ne connaissez pas ses romans C’est bon mais c’est chaud et C’est beau mais c’est triste mettant en scène le privé Sam Murchinson, foncez faites-moi confiance).
Et là, découverte d’un auteur génial, au style nerveux, qui sur un canevas plus qu’astucieux vous colle à votre siège dans un roller coaster non stop de 500 pages. Les chapitres ultra courts qui impulsent une nervosité constante, un style implacable et une intrigue qui vous prend au col pour ne plus vous lâcher et qui maintient constamment la tension et l’attention. Un kiff stratosphérique, combinaison de rebondissements continuels, de détails ultra réalistes, de bastons homériques, de fusillades dantesques, le tout nimbé d’un humour pince sans rire constant et d’une énergie hallucinante. Le héros au charisme redoutable n’est pas le seul à exister, tous les autres personnages vivent et ont leurs moments. Mais lui on apprend à le connaitre encore mieux grâce à des flashbacks très malins qui font avancer le récit et ne sont pas seulement là pour faire joli. L’écriture très cinématographique de John Brownlow dépasse le stéréotype du récit d’espionnage traditionnel, mais L’agent Seventeen est pulp à souhait, badass comme pas permis, un divertissement total pour une bombe de thriller bourrée d’action et d’adrénaline. Un mélange entre James Bond et Jason Bourne comme le vendait le bandeau mais aussi des accents de John Wick et d’un paquet de films de genre qui ne sont que l’inspiration d’un écrivain qui impose sa patte. La suite sort en mars et comme vous pouvez l’imaginer, l’impatience est immense.
L’agent Seventeen est disponible à la Série Noire aux Éditions Gallimard. Dites moi en commentaire si vous l’avez lu et ce que vous en avez pensé et sinon si cette vidéo vous a donné envie de le découvrir. Et pour des conseils ciné, séries, livres, n’oublie pas de t’abonner !
Catégories :Livres








































































































































